Une des conséquences de cette affaire est la stigmatisation du jeu de rôle, durablement étiqueté comme rassemblement de profanateurs, de casseurs, de satanistes et autres profils à tendance morbide.
Les thèmes et ambiances peuvent être très variés selon les sous-genres : enjoués (happy hardcore), très sombres (darkcore), hypnotiques (tribe), ou martiaux, violents et profanateurs (gabber), psychédéliques (speedcore).