Les collines de l'intérieur de l'île et les pentes côtières restent toutefois largement inhabitées et sont recouvertes d'une garrigue typiquement méditerranéenne parsemée d'oliveraies.
En seulement une journée, ce feu annihile le labeur de trois siècles d'oliveraie, consumant ses 35 000 pieds d’oliviers et laissant un village exsangue.
Malgré la préservation d'une partie importante du paysage traditionnel des oliveraies, elle remplit aujourd'hui une fonction métropolitaine et résidentielle qui a considérablement transformé son image.
Son économie repose essentiellement sur l’agriculture, basée principalement sur l’oléiculture, où l'on recense d'innombrables oliveraies à travers toute la commune.