Ensemble, ils représentent quatre étudiants : deux qui aiment faire des niaiseries et deux autres qui sont assez différentes l'une de l'autre, mais qui se complètent bien.
Socialement, ses rapports n'ont pas l'air de beaucoup la préoccuper ; sourde aux niaiseries de la cour du collège, elle semble ne prêter de réelle attention qu'à son groupe d'amis.
Le bon peuple a tort, qui les a côtoyés sans s'apercevoir que sous la bure grossière, derrière la feinte niaiserie de leur hilarité, se cachaient deux âmes d'exception.
Il passe les quatre années suivantes, période qu'il qualifie de « niaiserie », à travailler en amateur comme clerc dans une étude d’avoué, en étudiant la philosophie à titre personnel.
Il préfère l’éloge dynastique aux « niaiseries de fables, de grotesques, de choses impossibles en nature, et qui ne peuvent rien représenter de solide ni de grave ».