Il loue également le dessin pour sa « vivacité de sa jolie patte moderne [...], [son] émotion, [son] travail du décorum et [sa] lisibilité » ; la colorisation lui paraît quant à elle « excellentissime ».
Il peut aussi correspondre à l'apparat officiel, à l'étiquette, au faste (on parle ainsi de « décorum royal »), voire, péjorativement, désigner un « luxe ostentatoire ».