Cette obstination, caractère essentiel des cévenols, a maintenu un verger : oliviers, mûriers, vignes, amandiers… complément nutritif, non négligeable, après la châtaigne.
Ainsi, une encyclopédie de 1821 affirme que « les habitants des pays à châtaigne ne sont pas amis du travail, [...] n'offrant que paresse, ignorance et misère ».
On y retrouve toutes les spécificités de la cuisine ardéchoise : spécialités issues de la châtaigne, charcuterie de montagne, champignons, miel et confitures, fromages fermiers.