L’hôtelier égrillard lui faisant comprendre qu’elle doit céder à ses avances si elle veut conserver sa place, elle obtempère sans beaucoup de difficultés.
Allant jusqu'à calomnier son futur gendre qui lui fait un procès et le gagne, c'est contraint et forcé qu'il finit par céder la main de sa fille en 1840.