Ne se reconnaît point dans l'esprit "post-moderne", qu'il considère essentiellement comme une perte de mémoire et un refus patent de la responsabilité, enfouie sous le babil du relativisme absolu.
À l'occasion (notamment en cas d'intense satisfaction), elle peut émettre un babil : « doudlidoudli », « dadli dadli », « touboudl », « adouïb », « doubedouba », « houlala », etc.