Les anciens sucriers défrichent le sommet des montagnes pour planter massivement des caféiers, ce qui appauvrit progressivement les sols et favorise le ruissellement.
Elles appauvrissent donc en ressources les milieux qu’elles colonisent, après quoi il s’ensuit l’appauvrissement d’une richesse spécifique dans ce milieu.
Si à échelle locale on voit apparaître de nouvelles espèces (de milieux ouverts), dans la forêt fragmentée, globalement, les communautés se réorganisent en s'appauvrissant.