Le complexe est régi par un ordinateur central facétieux, qui envoie volontiers ses « citoyens » vers la chambre d'extermination la plus proche à la moindre anicroche.
De nombreuses liaisons avec des petites copines et d’excellentes relations avec la population, surtout marchande, effacent les rares anicroches rapportées dans la rubrique journalistique des faits divers.