Selon l'épicurisme, la gourmandise, et en tant qu'elle habitue son sujet à un plaisir non nécessaire, s'oppose à la recherche du bonheur et à l'ataraxie.
En dépit d'un préjugé répandu, favorisé par les évocations gourmandes ou paillardes, les romans ne relèvent guère de l'épicurisme au sens propre du terme.